Février fut un gros mois de lecture et de rédaction : douze livres lus, onze billets rédigés!

Entendez-vous dans les montagnes (2022) de Maïssa Bey (Algérie) : un huis-clos tout en pudeur inspiré de l’histoire familiale de l’autrice marquée par l’assassinat du père en 1957.
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Mention spéciale ce mois-ci pour deux romans très différents : Joyland (2014) de Stephen King et Le pays des autres (2020) de Leïla Slimani.

- Le roi et l’horloger (2023) d’Arnaldur Indriðason (Islande) : un roman historique captivant à cheval entre le Danemark et l’Islande de la fin du XVIIIème siècle.
- Les Oubliés (2021) de John Grisham (USA): un polar judiciaire sur les dérives de la justice américaine. A lire.
- Joyland (2014) de Stephen King (USA): un roman d’apprentissage teinté de nostalgie et de beaucoup de tendresse.
- Action ou vérité (2023) de M.J. Arlidge (Angleterre): un polar distrayant et efficace.
- Les brouillards noirs (2023) de Patrice Gain (France) : un roman très sombre, à la fois drame familial et quête personnelle, avec en toile de fond les grands espaces sauvages féroïens et une tradition ancestrale barbare.
- Un lieu nommé Oreille-de-Chien (2011) Iván Thays (Pérou) : les états d’âme d’un journaliste de Lima dépêché dans un petit village andin pour y couvrir la venue du Président. Ennui.
- Double fond (2018) d’Elsa Osorio (Argentine): un polar historique et politique efficace et intéressant revenant sur les années les plus sombres de la dictature argentine.
- Les sourds (2014) de Rodrigo Rey Rosa (Guatemala) : un roman un peu brouillon s’apparentant à un polar. Pas convaincue.
- Chef (2022) de Gautier Battistella (France): une immersion très réaliste et incisive dans l’univers impitoyable de la haute gastronomie française.
- Le pays des autres (2020) de Leïla Slimani (France/Maroc): un roman historique et familial captivant dans le Maroc de l’immédiate après-guerre.
- Le petit-fils (2020) de Nickolas Butler (USA)
- Le pouvoir du chien (2019) de Thomas Savage (USA)
- Le mois de l’Europe de l’Est : escapades prévues en Bulgarie, en Pologne, en Lituanie et en Tchéquie.
- Sixième lecture pour le Prix du LàC : Saudade (2022) de Cristina de Amorim.
Bon mois de mars à toutes et à tous.

Bilan bien sympathique en février, bon mois de mars en perspective !🙂
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Je pense que mars sera synonyme de découvertes intéressantes. A suivre 🙂
Bonne journée!
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Beau mois de février.
Je n’en ai lu aucun sauf les deux derniers que j’ai beaucoup aimés (Le Pouvoir du Chien figure même dans mon panthéon). J’attends donc tes retours sur ces deux romans avec impatience.
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Indice : j’ai beaucoup aimé les deux 🙂 Ils avaient leur place dans la la « mention spéciale » mais j’ai oublié de les noter, sûrement parce que je n’ai pas encore rédigé les billets.
« Le pouvoir du chien » est très bien écrit et cette fin! Je me suis empressée d’acheter « La reine de l’Idaho » qui vient d’être réédité en Totem.
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Figure-toi que j’ai « La reine de l’Idaho » en réserve depuis des années… et que je n’ai toujours pas réussi à le lire, de peur d’être déçu.
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Je comprends cette peur de la déception. J’ai le même problème avec Nino Haratischwili et son pavé de 1200 pages, « La huitième vie », que j’ai déjà lu deux fois. J’ai beau m’être procuré ses autres romans, je n’arrive pas à franchir le cap.
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Oh oui, Le pouvoir du chien, un roman génial… j’attends ton avis avec impatience ! Merci pour tes participations au Mois Latino, et rendez-vous à l’est, donc (j’irai personnellement en Pologne, Ukraine, Tchéquie, Lettonie, Croatie et Russie !).
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Je suis d’accord avec toi sur « Le pouvoir du chien » et puis cette fin!
Après le mois latino et le mois de l’Est, je viendrai compléter ta récap’ sur les minorités, j’ai des tas de titres en attente de lecture!
Sacré programme pour mars mais venant de toi, je ne suis pas étonnée 🙂 Belles lectures!
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