Après ma lecture de Une clarté dans le lointain (2023) dans le cadre des Feuilles allemandes en novembre passé, j’ai voulu découvrir la romancière berlinoise dans son genre de prédilection que sont les nouvelles.
Deuxième recueil de Judith Hermann (1970) après le très remarqué Maison d’été, plus tard (2001) qui l’a propulsée sur le devant de la scène littéraire allemande, Rien que des fantômes (2005) est composé de sept nouvelles se déroulant entre la fin des années quatre-vingt et la première moitié des années nonante et dont le fil rouge est un certain désenchantement face à la vie et aux relations avec autrui, les hommes notamment.
Que ce soit dans une petite ville allemande, à Reykjavik ou Olurfsbudir, à Venise, Karlsbad, Austin, Prague ou encore à Tromsø, les jeunes femmes trentenaires dont il est question semblent toutes être en perte de repères. Sujettes à la mélancolie et à l’indécision, elles évoluent dans un relatif vide émotionnel et relationnel dont la nature et les causes restent toutefois vagues.
Si elles sont bien écrites, ces nouvelles -somme toute interchangeables-, ne m’ont pas passionnée, les thématiques évoquées ne m’intéressant que très peu.

© Image John Huang, Pixabay

Dommage que ces nouvelles ne soient pas plus passionnantes, le titre du recueil ayant titillé ma curiosité.
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La première nouvelle m’a beaucoup plu et le recueil me paraissait prometteur mais je me suis vite lassée des relations amoureuses et atermoiements de ces jeunes trentenaires qui passent beaucoup de temps à boire, à fumer et à ne pas faire grand-chose. Je n’étais clairement pas la bonne cible pour ce recueil.
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Je ne pense pas non plus l’être…
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Merci pour ta participation au challenge. Je vois que ce recueil ne t’as pas beaucoup emballé. J’avais noté le nom de l’autrice après avoir lu ton billet précédent. Ma bibliothèque possède un autre titre , « Certains souvenirs » que je n’ai pas eu le temps de lire pour cette édition.
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j’ai découvert cette auteure récemment et j’ai trop de réserves pour continuer à la découvrir.
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J’aimerais pourtant la découvrir, mais plutôt avec un roman finalement ! Comme pour toi, tout un recueil sur ce genre de personnages, ça sera trop.
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